1.Action,
fait de porter sur soi. Le port d’un uniforme. Port d’armes.
2. Façon de se tenir, maintien. Un port altier.
3. Allure générale d’une plante, d’un arbre. Le port majestueux du
cèdre.
4. Prix du transport d’un colis, d’une lettre. Port dû, qui sera
payé par le destinataire. Port payé, réglé par l’expéditeur.
5. MAR Port en lourd: poids maximal total qu’un navire peut
embarquer.
1. Abri naturel ou artificiel
aménagé pour recevoir les navires, charger ou décharger leur cargaison, assurer
leur entretien, etc. Port de guerre, de commerce, de pêche, de plaisance. Port
d’attache: port où un navire est immatriculé; fig. lieu où l’on retourne
régulièrement, auquel on est affectivement attaché. Arriver à bon port: arriver
à destination sans accident.
2. Ville bâtie auprès, autour d’un port. Le Havre est un port
important.
3. Col, dans les Pyrénées.
Le porc, ou cochon, descend du sanglier d’Eurasie. Ses membres
courts se terminent par 4 doigts, dont deux sont munis de sabots. Les canines,
très développées, subissent une croissance continue. Le mâle adulte est le
verrat, la femelle la truie et les petits
les porcelets ou cochonnets ou gorets. Omnivore, le porc se nourrit des déchets
alimentaires de l’homme; l’élevage industriel fait appel à des techniques plus
complexes. La truie peut donner deux portées par an, chacune de 10 à 12
porcelets. On utilise toutes les parties du porc: poils ou soies (fabrication
de brosses), graisse sous-cutanée ou lard (utilisée en cuisine), graisse fondue
(saindoux). Sa chair se consomme fraîche ou en conserve; le judaïsme et l’islam
proscrivent une telle consommation.
1. Chacun des orifices
microscopiques, à la surface de la peau, où débouchent les canaux des glandes
sudoripares. Suer la vanité, la peur par tous les pores, en manifester tous les
signes.
2. Chacune des très petites cavités que présentent certaines
matières minérales.
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